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Funérailles de papa Tégni DONGMO Simon dit « DON Simon »

Don Funérailles de papa Tégni DONGMO Simon dit « DON Simon »


les 26,27 et 28 janvier 2012 à Baleng.

Au vu de la pluralité des billets d’invitation de différentes sortes qui ont circulé, au vu des pagnes, -(au moins deux)- qui ont été arborés à l’occasion par les uns et les autres, nous avons eu des appréhensions quant au succès des funérailles du patriarche Tégni Dongmo Simon, notable du village Baleng bien connu comme ancien chauffeur du camion Mercedes de la CAPLAME qui transportait les jeunes trieurs de café partant de Bafou pour Dschang.

Mais, c’était sans compter sur la maturité de ses enfants qui nous ont publiquement administré la preuve que le slogan « Enfants d’un même père » pouvait très bien rimer avec « Enfants d’un même cœur ». Nous n'oublierons pas de féliciter et de magnifier ici l'action des gendres et des beaux-frères qui ont mis le paquet en qualité et en quantité pour dire à tous qu'ils avaient un beau-père adorable et qu'ils s'entendaient très bien avec leurs épouses, membres de la DESSIDONG. Les gendres ont joué leur partition avec brio et fierté.

Les enfants de Tégni Dongmo Simon, regroupés au sein d’un mouvement baptisé « DESSIDONG » ou « Descendance Simon Dongmo » ont prouvé aux yeux du monde que lorsqu’on s’entend dans une famille, on ne peut que réussir. Voici-le

Compte-rendu des funérailles et les remerciements de la famille par ses enfants DONGMO Eric Martial (1) et MANFO DONGMO Georges Caramba(2)

1)- AVANT-PROPOS. Je m’appelle DONGMO Eric Martial, DOERMA pour les intimes. Tout d’abord, je ne saurai dire un mot sans vous saluer fraternellement et commencer par remercier tous ceux qui ont sacrifié leurs occupations quotidiennes pour honorer de leur présence et/ou nous assister de près ou de loin. Vous ne pouvez savoir combien vos présences et vos services aux funérailles de mon papa DONGMO Simon « DON Simon » nous ont comblé. Jamais personne n’avait fait d’autant d’abnégation à notre égard. Je peux vous assurer que même si les mots sont dérisoires pour vous exprimer notre gratitude, jamais nous n’oublierons ce que vous avez fait pour nous. Vous nous avez fait réaliser à quel point nous avons de la chance de vous compter parmi nos proches. Sincèrement, vous avez été plus qu’extraordinaires !!!

Pour tout dire et dire vrai, de la planification aux préparatifs et jusqu’à la concrétisation des funérailles de Massa Simou, pour moi tout s’est déroulé dans l’harmonie, la tranquillité et la paix car nous n’avons pas enregistré d’incident quelconque et ceci c’est en partie grâce au Tout Puissant Créateur du ciel et de la terre à qui nous disons merci. Pour plus de détails, je passe ci-dessous la parole à mon grand frère MANFO DONGMO Georges Caramba pour les remerciements de toute la famille et le fil des évènements.

2)- REMERCIEMENTS.

Toute la DESSIDONG (descendance Simon DONGMO) vous dit merci pour vos participation et assistance morales, physiques, matérielles ou financières aux funérailles de leurs regrettés parents TEGNI DONGMO Simon (DONG Simon), DONKENG Madeleine, MEGNI JAZET Jeannette et DONFACK David dit Président international, Chef Supérieur du monde qui ont eu lieu du 26 au 28 Janvier 2012 à Baleng, Bafou par Nkong-Ni.

Que le Seigneur Tout Puissant vous garde et vous comble de bonheur pour cet acte de magnanimité et vous donne tout au centuple.

3- LE FIL DES EVENEMENTS

Annoncées à plusieurs reprises puis reportées à des dates ultérieures sans précision, les funérailles de DONG Simon, de son vrai nom TEGNI DONGMO Simon ont été finalement fixées en février 2011, à Bafoussam au domicile de Manfo DONGMO Georges Caramba. Pour certains, c’était l’histoire qui devait se répéter car comme toujours les uns n’y croyaient pas alors que les autres, incrédules jusque-là, s’obstinaient à ne pas donner les contributions individuelles demandées pour l’organisation matérielle et financière.

Tenez, celles-ci allaient de 50.000 FCFA pour les femmes mariées sans profession à 200.000 FCFA pour les grands cadres.

Cependant, tout était arrêté et la machine, mise en branle, prévoyait déjà la réception des belles-familles en Août 2011. Ce qui fut fait et à cette occasion, les « Thomas » qui verront avant de croire, s’alignaient déjà. Tout ceci rendu plus possible avec le décès à Libreville de l’épouse de Assob DONGMO Petit Pierre dont l’enterrement a regroupé au village une bonne partie des membres de la famille DJEUYIM, « Enfants d’un même père ». L’accélération viendra avec les premières impressions de billets en octobre 2011, la fixation à janvier 2012 de la réception des Mendzong ou clans d’âge et le début de l’apothéose le jeudi 26 janvier 2012. Dans une soirée inédite au cours de laquelle DONGMO NZOGMO Eugène TEGNI Simon II reçoit ses congénères de Baleng. Les premiers poulets, porcs et bœufs passent de vie à trépas et les premières réceptions le vendredi 27 janvier 2012.

Tapi dans son coin, et des mains de maître, TCHUETI DONGMO NGUIMATSIA Gaston aura au préalable, avec la collaboration serrée de MOHO-LEKOUET DONKENG Cosmas et de MANFO DONGMO Georges Caramba engagé des négociations discrètes et sûres avec leurs Majestés FO’O NDONG Victor KANA III et FO’O-LENG TSOBGNY Jean Calvin, Johnny Baleng III, pour leur participation à la grande parade du 28 janvier 2012. Ces démarches ont porté des fruits car au jour « J » outre le chef supérieur Bafou et le chef Baleng, nous avons eu le privilège et le grand honneur de recevoir des têtes couronnées à l’instar de FO’O DZIFENG MOMO Anatole Claude, FO’O WETCHOU GHOMO Maurice, FO’O NTSINGBEU KENHAGO Robert, FO’O KOHO TEKOMBOU Germain et FO’O-MENK’HEUH NGUENA YARRO Gilbert, sans oublier FO’O TOUOLA du groupement Foto et S.M. NGNINTEZENO ELIE, chef de 3eme degré du village Singte,  groupement Baleng de Bafoussam 2 dans la Mifi, accompagné de certains de ses notables et du président de l'APEE de l'école publique de Singte dont Dongmo GEORGES est Directeur. Avec un tel parterre de chefs traditionnels, nous pouvions dire avec fierté que la messe est dite !

Si pour les uns, l’essentiel était la réception de leurs invités, pour les autres, il fallait continuer d’aménager et d’embellir la concession paternelle et inviter les réunions auxquelles adhérait le feu DONG Simon en son temps.

Toute la DESSIDONG (entendez, descendance Simon DONGMO), large et étendue, avait occupé sans restriction, toutes les maisons de Mo’o Tissong carrefour Johny Baleng à la mission catholique Saint Thomas de Balepouo.

L’apothéose est atteinte ce fameux samedi 28 janvier 2012 quand les différentes délégations des beaux-fils et beaux-pères envahissent majestueusement et exécutent, parés de leurs plus beaux vêtements tradititonnels, la parade de Keza’ah et de Ngou’h.

La foule bigarrée, composite et cosmopolite est une, avec un seul objectif : vivre l’évènement jusqu’à son terme. Pour ceux qui croyaient avoir tout vécu, c’était sans compter avec l’arrivée triomphale de sept chefs de villages ci-dessus cités conduits de main de maître par Sa Majesté FO’O-LENG TSOBGNY Jean Calvin Johny Baleng III, qui, après les rites d’usage s’installeront dans leur loge.

C’est quand ils se retireront pour leur réception organisée à l’occasion à la chefferie Baleng que le Lion, NAH TEMAH FO’O NDONG Victor KANA III, Chef Supérieur du groupement Bafou arrivera, précédé à l’occasion de son clairon et de sa cloche.

Le décor est planté. Toute la famille « Enfants d’un même père » en contrebas de la cour avec à sa droite, perpendiculairement, notables et autres chefs traditionnels. Majestueusement et triomphalement, le Lion, la Panthère, l’Ami du chef Bandjoun ou de FO’O TEMLEPANG engage d’un pas alerte les hostilités par le Kezah puis le Ngou’h Fo’o entonné par le redoutable et intrépide MOHO KOMBE DONFACK Edouard par ailleurs cousin de la famille NDJEUYIM. Les touristes et les curieux en ont eu pour leur faim, tellement le chef était à l’aise, maniant sabre et lance autant allégrement qu’avec une dextérité dont il est le maitre. Après les civilités d’usage à l’endroit de Sa Majesté par la DESSIDONG épaulée des autres « Enfants d’un même père » et des amis, les premiers danseurs du Mendzong s’annoncent dans la cour puis rentrent et, quelques instants plus tard, le tam-tam bat, les différents clans d’âge font leur entrée dans l’esplanade précédés chacun du membre du clan l’ayant invité.

Après quelques tours de cet espace réservé à la parade, Sa Majesté le Chef Supérieur se lève une fois de plus de sa loge, un de ses serviteurs lui ajoute la gandoura, un autre lui lisse le parasol orné du pagne traditionnel et pendant qu’un autre encore lui tend sa lance et sa machette de circonstance. Cette danse guerrière fait le plein d’œuf puis éclate. Quand, le maitre de céans telle une hirondelle engage ses parades planées sous les youyous des femmes, curieux et touristes allant d’un angle à l’autre coin de la grande cour de DONG SIMON dégagée pour la circonstance. La poussière s’élève. Toutes les pierres de la cour son écrasées. Le chef interrompt la danse, déclare à ses guerriers qu’il peut compter sur eux avant de faire relancer la musique et l’exhibition.

 

La fin de la partie intervient un peu plus tard avec le Azeng Ngang-Mba et enfin vers 23h avec les différentes « tête du porc » qu’on cassera avec les congénères du village pour évoquer les points positifs et négatifs de la cérémonie. /-

Pour toute la descendance Simon DONGMO « DESSIDONG »,

MANFO DONGMO Georges Caramba

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